Terrain Ariège (09)
Autrefois très enclavé, le département de l’Ariège bénéficie aujourd’hui de l’étalement de l’aire urbaine de Toulouse ainsi que de ses voies de communication. Aussi l’achat de terrain en Ariège intéresse beaucoup les actifs qui souhaitent accéder à la propriété à des prix accessibles.
Il s’agit en effet du département le moins cher de Midi-Pyrénées même si ce dernier continue d’afficher des disparités de prix suivant les secteurs où l’on se trouve. La vente de terrain dans l’Ariège peut s’avérer être un placement au bon rapport qualité/prix notamment pour les primo-accédants.
En lien avec la crise de l’immobilier, le prix du terrain à bâtir a considérablement baissé en Ariège ces dernières années. On note un plus important dynamisme en Basse Ariège mais le marché est calme dans le Volvestre et le Courserans. L’achat de terrain en Ariège a subit la crise du marché des résidences secondaires en particulier dans le secteur de St Girons. Ce département en effet était très réputé pour cela y compris auprès d’un public étranger. Les anglais ont beaucoup acheté il y a une dizaine d’années. Aujourd’hui la vente de terrain en Ariège concernera les acheteurs toulousains mais les anglais ont totalement disparu des transactions.
Les primo-accédants tirent ainsi leur épingle du jeu avec des prix de terrain abordables et des taux d’intérêt au plus bas. Les villes comme Foix et Pamiers travaillent leur image pour attirer ce type de public. En effet il s’agit de deux villes où la population de jeunes actifs n’hésite pas à s’installer. Les vendeurs ont également compris la nécessité de baisser le prix d’achat de terrain en Ariège.
Actuellement on note une stabilisation du marché. La tendance s’affiche au niveau d’un budget resserré ainsi que de petites surfaces.
A savoir
En termes d’agriculture, la vente de terrain en Ariège connait une progression constante de ses prix. Département rural et très peu peuplé ce territoire est marqué par ses zones naturelles non cultivables. Ce qui laisse peu de place à l’agriculture car seulement 27% du département est occupé par les cultures. L’élevage reste une dominante.
Le prix de la terre libre est donc conditionné par une offre restreinte.